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Comment financer la création de sa PME ?

3 octobre 2023
Temps de lecture : 4 minutes
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Table des matières

Financement création PMPE

La réussite d’un projet de création d’entreprise (TPE ou PME) passe inévitablement par un plan de financement réaliste mais ambitieux. Dès la phase de lancement, la maîtrise des flux financiers est un gage de succès pour l’entrepreneur. Avec les différentes solutions de financement possibles, pas facile de choisir la meilleure !

bPayd vous propose ses éclaircissements, par une présentation rapide des principales pistes à explorer.

Rassurer et se rassurer

Avant tout, présenter un plan de financement cohérent a pour objectif de séduire les potentiels partenaires financiers (établissements bancaires ou investisseurs). Dans le cas d’une demande de prêt, présenter un plan de financement facilite l’obtention de conditions plus avantageuses, notamment concernant le taux. Par ailleurs, pousser loin sa réflexion sur le financement de sa PME augmente ses chances d’identifier un éventuel problème de trésorerie, le point critique pour beaucoup d’entrepreneurs. En réfléchissant sérieusement en amont, l’entrepreneur gagne en assurance dans sa capacité à réussir son pari.

Les principaux moyens de financement pour monter sa PME

Lorsque l’on monte un projet de PME, il est classique d’utiliser plusieurs sources de financement. Le créateur d’entreprise passe souvent par une combinaison de leviers afin de gérer les aspects courts et moyens termes.

Voici les principaux modes de financement des TPE / PME :

L’apport personnel et la « Love Money »

L’apport en fonds propres est un mode de financement simple et rassurant, autant pour ses partenaires que pour les actionnaires. Disposer de ce type d’apport financier apporte de la sérénité, des gages de solidité. Même pour une simple location de bureaux, profiter d’un matelas financier facilite les démarches.

Dans le même ordre d’idée, on peut évoquer la « love money ». Derrière ce terme, se cache l’apport financier de proches, souvent la famille ou amis. Les fonds apportés peuvent prendre différentes formes : l’investissement au capital, les donations ou les prêts. Il faut savoir que pour les généreux donateurs, la « Love Money » ouvre le droit à une réduction fiscale définie par la Loi Madelin.  Il existe néanmoins certaines conditions à remplir.

Le prêt bancaire

Faire financer tout ou partie de son projet par les banques est une pratique courante. Mais autant le dire tout de suite : les établissements bancaires ne laissent que peu de place à la prise de risques non maîtrisée. En conséquence, il est parfois délicat d’obtenir le prêt aux conditions espérées, notamment dans la période actuelle.  

L’apport minimum exigé, le travail préalable à la présentation du projet, la concurrence sur votre marché : bon nombre d’embûches se dressent devant le créateur d’entreprise. De plus, les banques préfèrent financer des projets longs termes et structurels plutôt que des jeunes entreprises en création.

Les Business Angel et le Crowdfunding

Le Business Angel est un professionnel expérimenté désireux de s’investir dans de jeunes entreprises créatives, pour un partenariat gagnant-gagnant. On retrouve souvent ce procédé dans le financement des entreprises de la tech, et plus globalement des sociétés où l’innovation est centrale. Si l’apport financier est immédiat, et que le bénéficiaire peut profiter de la mise à disposition d’un réseau professionnel, l’entrepreneur perd aussi en indépendance en cédant une partie de son capital.

Le Crowdfunding (ou financement participatif) suit un peu les mêmes règles. Don, prêt, prise de participation : la matérialisation prend des formes équivalentes. En revanche, au lieu de s’adresser à un seul et unique interlocuteur, on fait appel à une communauté de petits investisseurs. On présente les « crowdfunders » comme étant davantage intéressés à l’aspect social que les Business Angels. Toutefois, pas de règles immuables. La différence est avant tout numérique : quand un Business Angel investit seul, le crownfunding repose sur une multitude d’intervenants, réunis grâce à leur intérêt commun pour l’activité soutenue.

L’affacturage, pour les besoins de trésorerie à court terme

Au lancement de la PME, la trésorerie constitue le nerf de la guerre. L’entreprise doit faire face rapidement à ses frais de fonctionnement, souvent avant même d’avoir touché ses premiers euros, et doit financer son Besoin en Fonds de Roulement (le BFR).  Pour ne pas utiliser ses fonds propres pour financer l’activité, mieux vaut donc varier les sources de financement. A ce titre, l’affacturage représente une aide appréciable.

Argent frais rapidement disponible + délégation du recouvrement

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Sérénité pour la prise de décision et le développement de l’activité

Le factor se rémunère via une commission sur la facture vendue… mais mieux vaut 98% d’une facture acquittée que 100% d’une facture impayée… puisque l’affacturage intègre une assurance contre les impayés (Assurance-Crédit). De plus, la relance des factures en retard est faite par le factor lui-même, tout comme l’encaissement et le lettrage des factures. Le résultat est un gain de temps administratif très apprécié dans le cadre d’un lancement ou de développement.

Un dispositif d’affacturage permet ainsi de gagner en sérénité, une bouffée d’air bienvenue lors des premiers mois d’existence d’une PME qui cherche encore ses marques.

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